Lexique Boursier.

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OAT (obligation assimilable du Trésor)

Il s'agit des Obligations Assimilables du Trésor. Chaque emprunt de l'Etat sous forme d'OAT peut donner lieu à plusieurs tranches d'émissions sur la base de la même OAT. Cela repose sur l'assimilation des nouvelles tranches aux anciennes.
En fait, lorsqu'il est émis une nouvelle tranche, elle comporte les mêmes conditions de valeur nominale, de montant de coupon et de remboursement que la tranche émise initialement. Lors de l'adjudication d'une nouvelle tranche, son prix se calera sur les taux d'intérêt du moment.

Au gré des émissions successives qui se cumulent, chaque OAT atteint aisément un encours de plusieurs milliards d'euros, ce qui accroît fortement la liquidité de chaque ligne d'OAT.

 

Obligation

Les obligations sont de simples titres de créances sur leur émetteur. Une obligation ouvre droit au paiement d'un intérêt contractuel exprimé en pourcentage de sa valeur nominale et assure un remboursement selon les conditions prévues dans le contrat d'émission, au minimum la valeur nominale.
Une obligation peut être émise par l'état, les collectivités locales, les entreprises publiques et les sociétés privées. Quand une obligation est émise par une société privée, elle ne confère aucun droit sur la marche de la société émettrice et sur ses bénéfices.

 

Obligation à taux fixe

Une obligation à taux fixe procure chaque année un coupon exprimé comme une fraction de sa valeur nominale et dont le montant est fixé dès l'émission pour l'ensemble de sa durée de vie.

 

Obligation à taux fixe ou taux variable

Les obligations appartiennent théoriquement à la catégorie des valeurs à revenu fixe, dans le sens d'un revenu invariable. Cependant, dans la pratique, l'intérêt d'une obligation, et donc sa rémunération, peut être fixe ou variable.
Une obligation à taux variable a un coupon exprimé comme un pourcentage de sa valeur nominale mais qui varie en fonction d'un indicateur défini à l'émission : plusieurs indexation sont admises (sur les taux court, les taux longs, le niveau de l'inflation etc.).

 

Obligation à taux révisable ou flottant

C'est une obligation dont la rémunération varie en fonction d'un indicateur revu à échéance convenue et qui détermine le coupon. Une obligation à taux révisable (ou à taux flottant) prend une référence de taux plus ponctuelle, et généralement plus éloignée dans le passé, qu'une obligation à taux variable.
Par exemple, le coupon d'une obligation à taux révisable sera fixé un an à l'avance par référence à un taux sur une période d'un à deux mois. Une obligation à taux variable aura, elle, son coupon déterminé au moment de son versement par référence à une série de taux proches de la date du versement du coupon.

 

Obligation convertible en action (OCV)

Une obligation convertible en action est une obligation qui peut être transformée, le plus souvent à tout moment depuis son émission jusqu'à son échéance, en action de la société émettrice.
Pour l'entreprise, cette obligation a l'avantage de pouvoir être remboursée en créant des titres - si l'action a grimpé suffisamment - et elle permet d'offrir des rémunérations moins élevées que celles des obligations classiques. En contrepartie, les souscripteurs ont la possibilité de pouvoir convertir leur obligation en action et de profiter ainsi d'une éventuelle progression de l'action proposée en échange.

 

Obligation échangeable

Les obligations échangeables sont différentes des convertibles ou des oceanes puisqu'elles vont porter sur un autre titre que celui de leur émetteur. Ces obligations permettent d'être échangées contre des actions de participations que l'émetteur détient dans d'autres entreprises.
Pour des raisons juridiques, les obligations échangeables sont souvent émises depuis le Luxembourg, qui n'impose pas, comme la France, la mise sous séquestre des titres proposés en échange.
Ce terme recouvre également des obligations qui peuvent changer de nature, de taux fixe à taux variable ou l'inverse, au gré du porteur selon des conditions et des périodes définies à l'émission.

 

Obligation remboursable en action (ORA)

Il existe des obligations remboursables en actions, nettement plus contraignantes que les convertibles. Une telle obligation se transforme obligatoirement en action le jour de son remboursement.
Le souscripteur n'a aucun choix et risque d'enregistrer des moins-values sensibles si le cours de l'action baisse. Dès son émission, ce titre devient une quasi-action. Le seul avantage : le coupon versé en fonction de la valeur nominale de l'obligation a de bonnes chances d'être supérieur au rendement de l'action, ce qui peut rendre le titre attrayant par rapport à l'achat direct de l'action. La société émettrice y trouve également son intérêt : d'une part, elle offre un coupon moindre que celui qu'elle consentirait pour une obligation classique et, d'autre part, elle rembourse cet emprunt en créant de nouvelles actions au lieu de débourser du cash.

 

OCEANE

Ce sont des obligations à option de conversion et/ou d'échange en actions nouvelles ou existantes, les « OCEANE ». Les sociétés qui les ont émise peuvent alors choisir d'attribuer au porteur des actions nouvelles ou des actions préalablement rachetées sur le marché ou détenues en autocontrôle. Ces titres ont l'avantage, pour l'émetteur, d'offrir un contrôle de l'effet dilutif de la conversion que ne permet pas l'obligation convertible classique qui, elle, donne forcément lieu à création d'actions nouvelles.
Les OCEANE sont souvent émises dans le cadre des programmes de rachat d'actions des sociétés, les sociétés disposant alors de leurs propres titres en portefeuille.

 

Offre à prix ferme, OPF (introduction)

Cette procédure d'introduction en Bourse consiste à fixer à la fois le prix et nombre d'actions proposées au public. En fonction du succès de l'opération, les titres sont répartis dans le public. L'attribution des titres s'effectue alors au prorata de la demande mais la procédure n'est jugée recevable que si un minimum de 0,80% de la demande est servie, sinon celle ci est réorganisée à un prix au moins supérieur de 5%.

 

Offre à prix minimal (OPM)

Dans cette procédure d'introduction en Bourse (anciennement appelée Mise en vente), le prix et la quantité sont fixés par l'investisseur. En respectant la limite d'un prix minimal fixé à l'avance. Seuls les ordres fixant une limite (dans des conditions raisonnables) sont acceptés.

 

 

Offre à prix ouvert, OPO (introduction)

Cette procédure d'introduction est en vigueur depuis le 24 juillet 1999. L'offre à prix ouvert, associée à un placement garanti, donne à l'émetteur la possibilité de proposer aux investisseurs une quantité spécifique de titres dans une fourchette de prix lors de leur première cotation, offrant ainsi à l'ensemble des investisseurs la possibilité d'intervenir dans des conditions identiques à celles retenues dans le cadre du placement garanti.
Le prix définitif de l'offre à prix ouvert est fixé à l'issue de la centralisation des ordres par Euronext Paris et ne peut en aucun cas être supérieur à celui pratiqué lors du placement garanti. Seules les demandes exprimées à un prix supérieur ou égal au prix définitif retenu à l'issue de l'offre à prix ouvert sont alors prises en considération pour l'allocation des titres.

 

Offre publique d'achat (OPA)

L'offre publique d'achat consiste à offrir un prix fixe pour chaque action formant le capital d'une société cible. Ce prix, pour attirer les porteurs, est généralement supérieur aux récents cours de Bourse de la société visée.

 

Offre publique d'échange (OPE)

L'offre publique d'échange consiste à offrir une parité d'échange entre les actions rachetées et celles du repreneur, créées pour la circonstance. En clair, l'actionnaire de la cible devient actionnaire du repreneur en acceptant l'offre.
Une offre publique peut associer la technique de l'offre publique d'achat et celle de l'offre publique d'échange : une parité d'échange et une soulte en espèces sont proposées aux actionnaires de la société visée, ou bien un choix entre les deux formules.

 

Offre publique de retrait (OPR)

Quand un actionnaire ou un groupe d'actionnaires agissant de concert viennent à détenir plus de 95% du capital d'une société cotée, l'un des actionnaires minoritaires de la fraction des 5% restants pourra demander directement au Conseil des Marchés Financiers d'imposer au groupe majoritaire de lancer une offre publique de retrait. Cela consiste à retirer l'action de la cote en achetant tous les titres en circulation à un prix conforme à la valeur de la société.

 

Offre publique de rachat d'actions

Les sociétés ont pris l'habitude racheter leurs propres actions. Pour ce faire, elles peuvent procéder à une offre publique de rachat d'actions qui s'opère alors par de simples achats en Bourse aux conditions fixées dans l'offre. La durée de cette intervention peut être limitée à 10 jours pour une offre publique d'achat et à 15 pour une offre publique d'échange, après accord du Conseil des Marchés Financiers.

 

Offre publique simplifiée

Ce sont des offres dont la durée est de 10 jours pour une offre publique d'achat et de 15 pour une offre publique d'échange. Ce type d'offre sera permis dans quelques cas seulement. D'abord, si l'initiateur détient déjà 50% du capital de la société visée, il pourra lancer ce type d'offre à un prix correspondant à la moyenne des cours récents sur le marché. Ensuite, s'il est assuré de parvenir à ce seuil par des rachats de blocs, il devra proposer un prix équivalent à celui de l'acquisition de ces blocs. Enfin, pour une prise de participation limitée à 10% du capital ou des droits de vote de la cible, l'initiateur pourra passer par une offre simplifiée.

 

OPCVM (Organisme de Placement Collectif de Valeurs Mobilières)

Bon nombre d'épargnants abordent la Bourse au travers des sicav et des fonds communs de placement. On les appelle les OPCVM : les organismes de placement collectif de valeurs mobilières. Ces instruments permettent de mettre en commun d'importantes sommes pour en confier la gestion à des professionnels. Il s'agit de la gestion collective.
Les OPCVM recouvrent un très grand nombre de spécialités. Certains sont investis uniquement à court terme, d'autres en obligations ou en actions.

 

Opéable

Il s'agit d'une société qui peut être candidate à une offre publique d'achat ou d'échange, ou bien encore au rachat d'un bloc de contrôle suivi d'une offre publique d'achat simplifiée.
Les victimes possibles devraient se trouver naturellement parmi les sociétés mal contrôlées par leurs actionnaires de référence, ou parmi celles dont les dirigeants s'apprêtent à cesser leur activité. Certains critères macro-économiques peuvent accélérer les vagues de rapprochement des sociétés, comme la mondialisation, une forte baisse des valorisations boursières ou la faiblesse relative d'une devise qui accélère les rachats de sociétés de pays à monnaie faible par des entreprises de pays à monnaie forte.

 

Opérations sur titre

Il s'agit de toutes les opérations de détachement de dividende, détachement de droit d'attribution ou de souscription, d'une division du nominal, etc... Ces opérations, plus connues sous le nom d'OST, sont enregistrées par les intermédiaires financiers.

 

Option d'achat (call)

Une option d'achat (appelée couramment call) donne le droit à son détenteur d'acheter un actif à un prix fixé jusqu'à une date donnée. A noter que l'acheteur de cette option jouit d'un droit mais n'a aucune obligation d'acheter l'actif au prix fixé.
Une option d'achat est souvent appelée un call dans le jargon financier.

 

Option de vente (put)

Une option de vente (appelée put) permet à son détenteur de vendre un actif à un prix fixé jusqu'à une date donnée. L'acheteur de l'option dispose d'un droit et non de l'obligation de vendre l'actif au prix fixé.
Une option de vente est souvent appelée un put.

 

 

Ordre "à cours limité " (limite de prix)

L'ordre à cours limité fixe un prix maximal d'exécution pour l'achat ou un prix minimal pour la vente. Un achat limité à 100 ne sera pas exécuté tant que l'action cotera au-dessus de 100 euros et le sera dès qu'elle descendra à 100 ou au-dessous. A l'inverse, une vente limitée à 100 ne sera pas exécutée tant que le cours reste au-dessous de la limite de 100 et le sera dès que le cours atteindra ou dépassera cette limite de 100.
À l'ouverture
Tous les ordres d'achat limités à des prix supérieurs et tous les ordres de vente limités à des prix inférieurs au cours d'ouverture sont exécutés en totalité (pas de fractionnement possible). Les ordres limités au cours d'ouverture sont dits "à cours touché" ; ils sont exécutés en fonction des soldes disponibles selon la règle "premier entré, premier servi".
En séance
L'exécution d'un ordre "à cours limité" est subordonnée à l'existence d'une contrepartie suffisante à un ou plusieurs prix compatibles avec sa limite.

 

 

 

L'ordre "à la meilleure limite"

Auparavant appelé "au prix du marché" aussi bien à Bruxelles qu'à Paris, il est désormais appelé de façon plus explicite "ordre à la meilleure limite"et ne doit pas être confondu avec l'ordre "au marché" nouvellement créé.
À l'ouverture
L'ordre "à la meilleure limite"est transformé en ordre limité au cours d'ouverture. Il est donc exécuté en fonction des soldes disponibles, après les ordres "au marché" selon le cas et après les ordres limités à des prix supérieurs pour les ordres d'achat ou à des prix inférieurs pour les ordres de vente. En cas d'exécution partielle ou de non exécution, l'ordre reste inscrit sur la feuille de marché comme ordre "à cours limité" à ce cours d'ouverture, quelles que soient ensuite les évolutions du marché.
En séance
L'ordre "à la meilleure limite" devient un ordre "à cours limité" au prix de la meilleure offre en attente s'il s'agit d'un ordre d'achat et au prix de la meilleure demande en attente s'il s'agit d'un ordre de vente. L'ordre "à la meilleure limite" n'est pas recevable lors de la phase de négociation au dernier cours.

Ordres "à déclenchement"

Egalement dénommés ordres "stop", les ordres à déclenchement permettent à un investisseur de se porter acheteur ou vendeur à partir d'un cours déterminé :
• à ce cours et au-dessus de ce cours s'il s'agit d'un achat,
• à ce cours et au-dessous de ce cours s'il s'agit d'une vente. Ils permettent notamment de se protéger contre d'éventuels renversements de tendance.

Ainsi, pour préserver une plus-value sur un titre acheté 45 € et cotant actuellement 64,10 €, vous pouvez placer un ordre de vente à déclenchement à 62,05 €. Aussi longtemps que le cours continue de monter ou d'évoluer au-dessus de 62,05 €, la vente n'intervient pas. Au contraire, dès que le cours baisse à 62,05 € ou en dessous, l'ordre devient exécutable à ce cours ou en dessous.
De tels ordres sont dits :
• "à seuil de déclenchement" lorsqu'ils ne comportent qu'une limite à partir de laquelle ils se transforment en ordre "au marché"(cf.11). Ce type d'ordre vous assure par conséquent une exécution maximale de votre achat ou de votre vente mais ne vous permet pas d'en maîtriser le prix ;

• "à plage de déclenchement" lorsqu'une deuxième limite fixe le maximum à ne pas dépasser à l'achat ou le minimum en deçà duquel le client renonce à vendre. Ainsi un ordre d'achat "à plage de déclenchement" 61,20/63,10 n'est pas exécutable aussi longtemps que le cours est inférieur à 61,20 € et cesse de l'être dès que le cours dépasse 63,10 €. De la même façon, un ordre de vente "à plage de déclenchement" 61,00/58,90 n'est pas exécutable tant que le cours reste au-dessus de 61,00 € et cesse de l'être si le cours baisse en dessous de 58,90 €. Ces ordres en attente de déclenchement ne font l'objet d'aucune diffusion.
À l'ouverture
Ne sont acceptés que les ordres d'achat dont le seuil de déclenchement est supérieur au cours de clôture de la veille (ou du précédent fixage , ou fixing, pour les valeurs qui ne sont pas cotées en continu) et les ordres de vente dont le seuil de déclenchement est inférieur au cours de clôture de la veille ou du précédent fixage. Ils sont exécutés au cours d'ouverture dans la mesure où celui-ci est compatible avec le seuil ou avec la plage de déclenchement.
En séance
Les ordres ne sont pris en compte que si leur seuil est supérieur (pour les ordres d'achat) ou inférieur (pour les ordres de vente) au dernier cours coté lors de leur arrivée sur le système central de cotation. En séance, la réception d'un ordre à déclenchement ne provoque pas de négociation immédiate.
Une transaction doit nécessairement intervenir entre l'enregistrement et le déclenchement de l'ordre : -à un cours égal ou inférieur au seuil pour
les ordres de vente, -à un cours égal ou supérieur au seuil pour les ordres d'achat.

 

L'ordre "au marché"

L'ordre "au marché" ne doit pas être confondu avec l'ordre "au prix du marché" qui existait précédemment à Bruxelles et à Paris et qui est devenu l'ordre "à la meilleure limite".
À l'ouverture
L'ordre "au marché" est prioritaire sur les ordres "à la meilleure limite" et sur les ordres "à cours limité" enregistrés sur la feuille de marché à ce moment-là.
1er cas : les quantités disponibles permettent une exécution complète de l'ordre (ou des ordres) "au marché" ; il est alors exécuté au cours d'ouverture.
2e cas : les quantités disponibles ne permettent pas une exécution complète de l'ordre :
• pour les valeurs cotées en continu, la valeur est réservée et la phase de pré-ouverture est prolongée (une seule fois seulement ; cf. réservations p.16). Lors du fixing établi à l'issue de cette prolongation, l'ordre "au marché" est exécuté au maximum de la quantité disponible ; le solde (ou la totalité si l'ordre n'a pu recevoir de début d'exécution) est mis en attente sur la feuille de marché avec la mention MO (ordre au marché) et la phase continue démarre.
• pour les valeurs cotées en fixing seulement, lorsque l'exécution partielle n'est pas possible, la valeur est réservée jusqu'au fixing suivant ; lorsqu'une exécution partielle est possible, l'ordre est exécuté à hauteur des quantités disponibles et le solde est mis en attente jusqu'au fixing suivant.
En séance
L'ordre "au marché" est exécuté au maximum disponible à l'instant de son enregistrement en venant servir autant de limites que nécessaire sur la feuille de marché et,le cas échéant, s'affiche pour la quantité non exécutée avec la mention MO (en cas d'insuffisance à l'intérieur des seuils de réservation).
L'ordre "au marché" n'est pas recevable pendant la phase de négociation au dernier cours mais l'ordre "au marché" non exécuté lors du passage à la phase de négociation au dernier cours et qui devient exécutable (en tout ou partie) pendant cette phase grâce à l'arrivée d'ordres en sens inverse est exécuté au dernier cours.

 

Ordre de Bourse

 

L'ordre de Bourse permet d'acheter ou de vendre une valeur mobilière cotée en fixant les modalités d'exécution requises. Ces dernières supportent les contraintes du système de cotation informatique des diverses Bourses.
En France, les ordres de Bourse peuvent être transmis auprès des membres directs du marché ou de divers intermédiaires, comme les guichets de banque, les guichets de la Poste, du Trésor et des Caisses d'Epargne. Que l'ordre soit transmis par téléphone, fax, à un guichet ou directement en ligne, il finira sur les systèmes électroniques d'Euronext Paris. Une fois arrivés dans les systèmes informatiques d'Euronext, les ordres sont triés par limite de prix et sont horodatés. Au fur et à mesure de leur arrivée se construit une feuille de marché.

Extrait du livre " Parler Bourse en 2000 mots" de Didier Vitrac, publié par Gualino éditeur et City & York, 2002. Site Internet : https://www.lgdj.fr/

Extrait de la brochure "Les ordres de bourse ", éditée par Euronext, 2007. 

 

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